MARIE GAUTROT
mezzo soprano
Amneris - mise en scène Pierre-Emmanuel Rousseau
©annecali
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"ll y a surtout Carmen, une "tueuse", femme fatale qui n'a pas besoin de falbalas pour attirer les hommes -et les femmes-
dans sa danse de mort.
Tragédienne accomplie, Marie Gautrot
nous bouleverse profondément"
"Above all, there is Carmen, a 'femme fatale' who doesn't need frills to lure men -and women-into her deadly dance.
A consummate tragedian, Marie Gautrot
moves us as deeply"
"La voix envoûtante de Marie Gautrot et sa présence scénique crée une atmosphère véritablement enchanteresse, donnant des frissons aux spectateurs."
"The captivating voice of Marie Gautrot and her stage presence create a truly enchanting atmosphere, sending shivers
down the spines of the audience."
“Dès les premiers mots de « Printemps qui commence », on comprend que Marie Gautrot sera une Dalila de premier plan. C’est d’une délicatesse ciselée. La longueur de souffle est impressionnante. La logique est celle de l’ensorcellement. Le public s’y laisse prendre et se fige dans une écoute palpable. Sa Dalila, si convaincante dans le registre élégiaque, parvient à une sorte d’incandescence de haine inquiétante autant que fascinante.”
"From the very first words of "Printemps qui commence," it becomes clear that Marie Gautrot will be a leading Dalila. It is a performance of finely chiseled delicacy. The breath control is impressive. The logic is one of enchantment. The audience is captivated and remains frozen in palpable listening. Her Dalila, so convincing in the elegiac register, reaches a kind of incandescent hatred, a form of both unsettling and fascinating apotheosis.”
MEDIA
"Voilà une vraie voix de mezzo dramatique, comme le répertoire français en a besoin : chaude, percutante dans l'aigu, sonore dans le grave, capable de véhémence comme de douceur. On rêve de l'entendre en Margared du Roi d'Ys ou en Eboli de Don Carlos ! "
"Here is a true dramatic mezzo voice, just what the French repertoire needs: warm, striking in the high register, resonant in the low, capable of both vehemence and tenderness. One can only dream of hearing her as Margared in Le Roi d’Ys or Eboli in Don Carlos !"
Opéra magazine Richard Martet
Les Fées du Rhin Offenbach
Grand Théâtre de Tours octobre 2018
"Dalila, un des rôles les plus exigeants, les plus lourds du répertoire lyrique appelle des qualités peu communes. Il se construit sur le temps. Marie Gautrot, après l’avoir incarné en Avignon, la saison passée, confirme l’opulence du timbre ensoleillé, l’émission arrogante et l’aisance constante. La voix est longue et souple. Bien sûr « Mon cœur s’ouvre à sa voix » appelle les acclamations du public. Ses deux duos atteignent à une vérité dramatique et musicale peu commune”
"Dalila, one of the most demanding and weighty roles in the operatic repertoire, requires rare qualities. It is a role that is built over time. Marie Gautrot, having performed it last season in Avignon, confirms the opulence of her sunlit timbre, her bold projection, and her constant ease. The voice is long and supple. Naturally, “Mon cœur s’ouvre à ta voix” draws enthusiastic applause from the audience. Her two duets reach a level of dramatic and musical truth that is truly exceptional."
Forum Opéra - Yvan Beuvard
Samson et Dalila Saint-Saëns
Opéra de Saint-Etienne mai 2025
"On a également réentendu la splendide Marie Gautrot le timbre opulent, la ligne bien dessinée, le tempérament on ne peut plus sensuel. Rares sont les chanteuses qui nous font dire au bout de huit secondes : «Voilà une Marguerite !», mais Marie Gautrot est de celles-là On tient sans doute là une des grandes Marguerite de notre temps."
"We also had the pleasure of hearing the splendid Marie Gautrot once again — with her opulent timbre, finely shaped musical line, and unmistakably sensual temperament. Rare are the singers who make us say, after just eight seconds, “There is a Marguerite!” — but Marie Gautrot is one of them. She is undoubtedly one of the great Marguerites of our time."
Site Hector Berlioz Christian Wasselin
La Damnation de Faust Berlioz
Paris -Théâtre du Châtelet février 2009
